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L’histoire

Un cartel d’un nouveau genre, invisible et sans pitié.

Une drogue d’une pureté inédite.

Un réseau de dealers sous pression, déployé à travers l’Europe et coupé de la tête de l’organisation.

Un signe commun aux membres du cartel : Ecce Lex, tatoué sur le poignet. Quand des dealers sont capturés, ils se révèlent incapables de livrer le moindre indice sur leur commanditaire… Quand leurs cadavres ne servent pas déjà de bornes kilométriques.

Une légende de la police judiciaire aux dons de mentaliste, Cécile Sanchez, fait face à des tueries aux modes opératoires sans précédent.

Est-il possible de mettre des ombres en cage ? Dans quel enfer devra-t-elle descendre pour faire face au mal absolu ?

Bienvenue dans le Réseau Fantôme.

Entre Braquo et Breaking Bad, Sa Majesté des Ombres ouvre magistralement la nouvelle épopée du thriller hexagonal.

 

Mon Avis

Je crois que je tiens ici ma meilleure lecture de l’année 2018, une vraie claque dans la gueule comme peu de livre m’en ont mis dans mes lectures (Hormis Les Démoniaques de Mattias Koping).

Ce roman est très addictif, il est dans l’action permanente sans aucun temps mort, il nous plonge dans les méandres des gros trafic de drogues et de comment la police doit réagir face à ces organisation malfaisantes qui sont aussi bien organisée qu’une armée.

Gilberti nous montre qu’il connait très bien ce milieu, bien informé, il utilise très bien aussi les tensions interne entre les différents services de police, et fait monter l’intensité sans jamais s’arrêter.

Ce livre est un peu construit comme une série a suspens, a la fin de chaque chapitre on se demande ce qui va se passer en suite et les actions par leur violence par leur complexité ont quelque chose de réellement cinématographique.

Vous l’aurez compris ce livre m’a vraiment marqué en bien, je l’ai adoré et je vais lire les deux suites avec plaisir car il s’agit du premier tome d’une trilogie !